Insert inox, comment fixer solidement de l’accastillage (source Bateaux.com)
Comment fixer de l’accastillage sur le pont ? La solution la plus simple consiste à percer le pont entièrement et d’accrocher la pièce avec une vis traversante et sur laquelle on vient serrer un écrou. Mais comment faire quand on n’a pas accès sous le pont pour installer et serrer l’écrou ? TID-Inox dispose d’insert en inox bien adapté à cette problématique.
TID-Inox qui propose toutes les tailles et caractéristiques de boulons et rondelles en inox annonce aussi la disponibilité de nouveaux inserts. Ces pièces en inox 316 L (la référence pour la marine) viennent se visser directement dans le polyester.

Un insert étanche et résistant
Pour installer un insert, il suffit de percer le pont en suivant la recommandation du constructeur (un diamètre inférieur à la taille de l’insert). L’insert vient ensuite se visser directement dans le polyester. Son pas de vis très profond et très coupant offre une très grande résistance à l’arrachement.
L’insert n’est pas débouché dans le fond, il reste donc totalement étanche si l’on prend soin de le monter avec du joint Sika ou de la résine avant de le visser. L’accastillage se visse alors avec une vis inox directement dans l’insert. Le montage et le démontage des pièces d’accastillage est alors facilité.
Les Inserts font 25 mm de profondeur. Il faut donc prévoir assez d’espace sous le pont pour l’installer. Ils sont disponibles en 4 tailles pour visser des vis de 6, 8, 10 ou 12 mm.

CUISINE À BORD: QUELLE NOURRITURE EMPORTER SUR LE BATEAU source TSCH
Normalement, sur les bateaux de plaisance, les espaces sont limités et les appareils de cuisson sont justes. Ainsi, avec une cuisine simple et des ustensiles assez basiques, la préparation des aliments n’est pas seulement rapide et simple.
Un bon placement (rangement) et une bonne commande de tous les produits seront cruciaux pour trouver à tout moment ce dont nous avons besoin. Une fois que nous avons commencé la préparation d’un repas, nous recommandons d’avoir les ingrédients à portée de main, nous les aurons sûrement rangés (placés) dans des armoires et des réfrigérateurs probablement à accès restreint.
Voici quelques conseils que TSCH a pour vous:
Le sujet des boissons est important, car il fait chaud et vous buvez plus d’eau, il est calculé environ 2 ou 3 bouteilles par personne / jour. Ainsi, le chargement de l’eau en bouteille occupera un espace important.
Méfiez-vous des bouteilles en verre, car le risque de casse est élevé, en raison du mouvement constant du bateau. Et aller pieds nus est habituel sur un bateau.
Soda mieux en canettes, donc on évite les risques de casse et entreposer dans les placards c’est bien mieux.
Les repas, mieux vaut les préparer avec le temps, car il peut nous arriver que, où que nous allions, il y a de la mer en arrière-plan ou simplement le passage d’autres bateaux, cela nous met mal à l’aise avec tant de mouvement pour préparer la nourriture.
Les repas légers et digestifs sont idéaux, tels que les salades, les gaspachos, les pâtes, les légumes, la salade, etc.
Les sandwichs avec un assortiment varié sont une alternative saine et délicieuse. Avec des ingrédients tels que jambon, saumon, fromage, laitue, tomate, bacon, crevettes, œufs durs, vous pouvez préparer de nombreuses combinaisons pour faire des croisements bien nourris.
Ce que vous voulez le plus lorsque vous naviguez, c’est une boisson fraîche et une nourriture très digestive, le contact constant avec l’eau et les bains continus nous fait des aliments de fantaisie tels que le riz, les pâtes de toutes sortes, les gaspachos, les salades avec des ingrédients variés, etc. . Les pâtes sont l’un des aliments avec plus d’avantages, elles sont faciles à préparer, elles ont de nombreuses combinaisons…
Pour les collations, certaines options seraient un sac des frites, des saucisses, des noix, du fromage, des olives, etc.
Dans les traversées compliquées qui nous empêchent de cuisiner, nous utilisons généralement des plats préparés ou produits précuisinés.
Pendant les premiers jours, il est bon de prendre des plats préparés à la maison, comme du poulet et des viandes mijotées.
Des produits comme les fruits frais, les noix, les biscuits sont idéaux à tout moment de la traversée et si l’on se précipite devant l’impossibilité de préparer des plats.
La conservation en tuppers, est la meilleure option, pour stocker des plats cuisinés, des saucisses, etc. Si nous avons un revers juste en ouvrant le tupper, nous avons résolu la nourriture.
Il est important de ne pas sauter de repas, les traversées peuvent être longues et penser que « maintenant nous sommes là » peut parfois être une erreur. La chaleur, le manque de nourriture et de boisson peuvent parfois jouer des tours, surtout faites attention aux jeunes enfants.
Mais il ne faut pas oublier la possibilité de pêcher, si l’on est doué pour la pêche, vous pourrez profiter des merveilles que la nature nous offre.
C’est un luxe de pouvoir déguster un poisson fraîchement pêché ou des moules fraîchement pêchées. La voile aiguise toujours l’appétit plus que la normale, le soleil, les bains de mer, la plongée fait quand on arrive au port on veut un bon et savoureux repas. L’odeur des repas au restaurant nous fait parfois choisir cette option et déguster un repas typique de la région.
COMMENT COMMANDER L’ACHAT
L’humidité dans un bateau est plus élevée que la normale, il est donc très courant de transporter des canettes. Les canettes résistent aux coups et ne s’ouvrent pas facilement. Le thon, les légumes, les fruits de mer, les asperges, l’ananas sont des produits très courants sur un bateau.
Le seul inconvénient est qu’il est possible que les étiquettes se décollent à cause de l’humidité.
La nourriture est très bien organisée en tuppers et protégée de l’humidité.
Les consommables tels que le lait et l’huile, les ont dans des bouteilles avec bouchon à vis. Les renverser peut provoquer une catastrophe. Une alternative au lait est d’utiliser du lait condensé, il est pratique et tient beaucoup plus.
Des produits tels que le riz, les pâtes, le sucre de sel, etc., les stockent dans des sacs en plastique hermétiques.
Achetez un meilleur pain de conservation, comme du pain à grains entiers ou du pain.
Des aliments frais, dans des filets et sur le dessus du réfrigérateur.
Les fruits essaient d’être durables, les pastèques, les melons, les noix de coco, les poires, les pommes sont idéales et nutritives. Ils résistent aux bosses et ne sont pas aussi fragiles que les figues, les pêches, les fraises, etc.
Saucisses, gardez-les séparées dans des tuppers et dans le cas d’un morceau comme la saucisse, essayez de les avoir dans des endroits plus secs.
La pâtisserie, comme les muffins, les biscuits, etc., doit être placée dans des sacs et dans des endroits secs.
Pourquoi la mer est-elle si basse en ce moment? Source var-matin
Origine du nom « Port du Lazaret » :
Le Lazaret : La quarantaine (source http://jcautran.free.fr/oeuvres/tome3/baie_du_lazaret.html)
Ce qu’ils savent moins, nos concitoyens, c’est l’origine du mot Lazaret qu’on utilisa depuis le début du XVe siècle, en particulier dans les villes de la Méditerranée où l’on institua des quarantaines afin d’empêcher l’introduction sur le continent des maladies contagieuses comme la peste, la lèpre, le choléra.
Le mot Lazaret est d’origine italienne et latine. Le bas latin lazarus signifie ladre, lépreux et l’équivalent italien est lazaro ou lazaretto
La définition du dictionnaire Larousse donne : » Établissement isolé dans une rade et disposé pour recevoir des malades, des marchandises, des équipages suspects de contagion « .
Les premières villes de la côte méditerranéenne qui tentèrent de se protéger des maladies endémiques furent Venise en 1403 et Marseille en 1476. Cette dernière fut touchée 14 fois par le fléau de la peste en 145 ans et certaines épidémies causèrent des milliers de victimes dans la population. Imaginons que nous sommes au XVe siècle, à une époque où Saint-Mandrier est une île qu’on appelle Sépet (ou encore Cépet et aussi Cépé). Ces dernières appellations étant dérivées de Caput (cap) (1). Nous reviendrons plus loin sur les origines géologiques, sur les phénomènes d’érosion, de sédimentation, d’alluvionnement qui ont profondément modifié le littoral entre Toulon et le Cap Sicié c’est-à-dire sur une période de plusieurs siècles qui vit se former la Baie du Lazaret.
Comment protéger votre embarcation :https://nautisme-pratique.com/hivernage-gardiennage-surveillance-proteger-son-bateau/ Source nautisme-pratique |
Mais quel est ce nœud qui amarre ce bateau ?
https://www.bateaux.com/article/41929/mais-quel-est-ce-noeud-qui-amarre-ce-bateau
Source Bateaux.com
Une corne de brume résonne dans le brouillard avec 2 sons longs répétés. Que se passe-t-il ? :
source bateaux.com
Comment se préparer aux pluies diluviennes :bateaux.com/…/episode-de-fortes-pluies-au-port-comment-bien-se-preparer |
Comment est née la Route du Rhum ?
Quel intérêt a passer le permis hauturier :
https://www.bateaux.com/article/37480/apres-le-permis-cotier-quel-interet-a-passer-le-hauturier
(source bateaux.com)
La boule de mouillage est-elle obligatoire? (cliquer sur l’image pour obtenir la réponse)

A quoi sert le canal 70 de la VHF ?
Ce canal est réservé et ne doit pas être utilisé en phonie. En effet, c’est le canal qui permet de lancer des appels ASN (Appel Sélectif Numérique en français ou DSC en anglais pour Digital Selective Call).
En cas de détresse, on peut lancer un appel vocal en utilisant le canal 16. Si l’on active sa touche DISTRESS sur sa VHF en appuyant sur le bouton pendant plusieurs secondes, c’est le canal 70 qui va être automatiquement utilisé. Ce canal 70 ne doit donc en aucun cas être encombré par une utilisation en phonie.

En marine, les canaux utilisés pour parler de bateau à bateau sont le 06, 08, 72 et 77. Vous pouvez aussi avoir à utiliser le 09 (contact portuaire), 10 (sémaphore) ou le 18 (écluse). Et bien entendu rester en veille sur le 16 afin d’assurer la sécurité commune sur l’eau.
(Source bateaux.com)
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- Mémento Pocket permis côtier.
- Information VHF :
Depuis le 1er janvier 2017, la VHF fait partie de l’armement obligatoire de sécurité. Cette radio permet en effet d’entrer en contact facilement avec les autorités maritimes et notamment d’organiser des secours en mer. C’est donc le premier élément de la chaîne de sécurité à posséder sur un bateau.
Cette disposition est « applicable à la navigation de plaisance en mer sur des embarcations de longueur inférieure ou égale à 24 mètres. Elle concerne tous les engins, les embarcations et navires de plaisance (à moteur et voilier) à usage personnel ou de formation d’une longueur de coque inférieure ou égale à 24 mètres.«
- La navigation de plaisance :
La navigation de plaisance regroupe plusieurs types de pratiques : la navigation en mer ou en eaux douces, mais également la plaisance professionnelle dans un contexte de développement de nouvelles activités en mer et sur le littoral. Ce secteur est soumis à un cadre réglementaire strict. Selon la taille du bateau, et selon que la navigation ait lieu en mer ou eaux douces, les règles peuvent varier, notamment en ce qui concerne la possession d’un permis et l’identification du bateau. Des règles de sécurité spécifiques sont aussi mises en place.
Dans cette lignée, les activités nautiques à caractère sportifs ou de loisirs doivent appliquer les dispositions de sécurité prévues par la fédération à laquelle les activités sont affiliées. Aussi, la pratique de ces activités doit respecter les gestes et conseils de prudence afin d’assurer la sécurité de tous et de préserver au mieux l’environnement.
Intrinsèquement liée au tourisme, le secteur de la plaisance soulève un enjeu économique majeur. La France est le premier constructeur de bateaux de plaisance en Europe et le second au niveau mondial. Par ailleurs, on dénombre plus de 13 millions de plaisanciers, réguliers ou pratiquants occasionnels. Néanmoins, les implications en termes d’aménagement des littoraux et des voies navigables, ainsi que des installations portuaires sont considérables, tant d’un point de vue économique qu’environnemental.
Il s’agit enfin d’un secteur en forte mutation : transformation des usages (économie collaborative et de services), transition écologique avec la mise en place de la première filière de responsabilité élargie du producteur au monde dans ce secteur pour la déconstruction et la gestion des déchets, et enfin modernisation des services rendus aux usages (ouverture d’un portail pour faciliter les démarches liées aux bateaux par exemple).
(Source https://www.mer.gouv.fr/navigation-de-plaisance-sports-et…)
